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divorce proche du caniveau
17 août 2014

chronique banale d'un papa qui se sépare

 

Depuis 2011 année de séparation ma vie affective auprès de mes 2 filles se trouve particulièrement affectée. Je fût d'ailleurs cette année là recherché dans l'intérêt des familles, cette séparation ayant eu pour résultats que la maman refuse de me donner des nouvelles de mes enfants, ignorant leur lieu de résidence, ce que je vécu comme un enlèvement, en attente du premier jugement, en grande détresse psychologique et affective, j'ai fuit la Gironde, mes proches, pour éviter de n'avoir un geste fatal qui priverait à jamais mes filles de leur père. 

En rentrant en Gironde au bout de trois mois, la mère afin de se couvrir de ses agissements formulait 2 plaintes pour agression, classées sans suite, encore bien présentes dans mon esprit et qui seront que le départ d'un long calvaire.

Heureusement début 2012, une première décision de justice me donne un droit de visite; certes réduit au dimanche pour mes filles mais dans l'attente d'une expertise psychologique de tous  qui m'offrira enfin un droit de visite classique mi-octobre 2012.

Heureux de retrouver mon vrai positionnement de père, celui que j'avais toujours eu auprès de mes enfants, un incident majeur ternira rapidement cet instant.

Je reçois 3 jours plus tard un appel du collège m'indiquant un problème entre ma fille aînée et sa mère du fait de propos de la mère s'adressant ainsi« je vais t'éclater la gueule, je vais écraser ta gueule contre la porte », cet élément est d'ailleurs reconnu et consigné dans le rapport d'enquête de Madame le Juge.

Après avoir rencontré l'équipe pédagogique du collège je décide de laisser travailler l'assistante sociale scolaire qui m'affirme travailler en lien avec les services sociaux afin d'améliorer la relation mère/fille. Ma fille aînée demandera suite à cet événement à ne plus vivre chez sa maman mais confiant dans l'intervention des interlocuteurs rencontrés dans l'établissement scolaire, je leur laisse le temps de mener à bien leur intervention. 

Les week-ends en présence de mes enfants s'enchaînent alors en veillant à leur bonheur, soucieux de leur bien être, de leur éducation entourés de leur famille paternelle.

Le 22 février 2013, je reçois un courrier de la MDSI qui me convoque dans le cadre d'une mission de protection de l'enfance.

Je rencontre ainsi une assistante sociale, le 4 mars 2013, qui me pose des questions sur 3 faits qui se seraient déroulés en présence de mes filles le week-end du 26 janvier 2013 (soit 2 mois après le grave incident du collège) on m'accuse sur ma fille aînée :

- d'avoir joué avec la bretelle du soutien gorge,

- de l'avoir giflé

- de lui avoir retourné un doigt.

Je n'aurai connaissance d'un dépôt de plaintes sur ces accusations qu'en janvier 2014.

Très rapidement les services sociaux concluront que la maman cherche à régler ses comptes avec le père.

Débutera alors un suivi de Maëlle par un psychologue de la MDSI.

Le 26 juin 2013, un rendez-vous m'est proposé dans les services de la MDSI pour m'informer de la suite donnée à l'information préoccupante du mois de mars 2013, ci-dessus citée.

Cette information préoccupante sera classée tout en proposant pour ma fille aînée, afin de mieux l'aider, un suivi psychologique plus régulier par un deuxième professionnel, ce que refusera sa mère.

 A cette époque, je conserve alors un droit de visite et d'hébergement classique, alors que je demande clairement  un placement de mes enfants en vue d'assurer leur protection psychologique et afin d'éviter que tout ne dégénère, présentant que la situation ne s'arrangerait pas.

 Ainsi, je retrouve mes filles pour les vacances d'été, au mois d'août 2013, et nous partons dans un club de vacances afin de leur offrir, divertissements, loisirs, évasion … et pour partager avec elles de vrais instants de bonheur.

 

Le 8 septembre 2013, alors que je raccompagne mes filles en présence de mon père (comme d'habitude en présence d'un tiers, témoin suite aux diverses agression dont j'ai déjà été victime) au domicile de la maman, je suis molesté par la mère du concubin de cette dernière, insulté et ce en présence de mon père et de mes filles (certainement traumatisées par cette scène honteuse) ....qui se répétera le 13 décembre 2013 (espérant avoir mes filles en vain) sans que les gendarmes n'interviennent, bien qu'immédiatement interpellés par mes soins. 

Profitant de l'épisode du 8 septembre 2013, la maman (dans son désir unique de m'écarter des enfants) refusera ensuite de me remettre mes filles, violant la décision du JAF.

Elle justifiera à nouveau cette violation de mes droits en formulant à nouveau des accusations de violences et d'attouchement.

Le vendredi 20 septembre 2013 n'ayant à nouveau, plus mes filles, j'informe et saisi le Procureur, le colonel de Gendarmerie (le jour même),la MDSI, afin que ces temps d'échange de nos enfants soient encadrés, que mes filles et moi même soyons en sécurité.

Je serai alors reçu très rapidement par le colonel de Gendarmerie qui m'indiquera : « Monsieur on ne croit ni votre ex épouse ni votre fille concernant leurs accusations de violence du 8/09/2013 »,

Le Procureur ne m'a jamais répondu, quant à la MDSI, par courrier du 25/10/2013, m'informe saisir l'Autorité Judiciaire (Juge des enfants).

 

Suite à ces événements, Mon avocat fera une citation directe pour non représentation d'enfants pour la période de septembre 2013 à février 2014 (!). La maman sera alors condamnée par Monsieur le Procureur à de la prison avec sursit assortie d'une amende

 

 

Je ne reverrai mes filles qu'en février 2014, soit après de 5 longs mois sans nouvelles entachées de trop nombreuses NRE (tous les 15 jours)  et bien qu'ayant été convoqués :

devant le Juge des enfants le 16 décembre 2013 qui ordonnera une AEMO justice.

devant le Juge aux affaires familiales, le 16/01/2014, qui ordonnera un nouveau droit de visite, le réduit à la journée dans l'attente des résultats de l'enquête sociale qu'elle sollicite en parallèle.

Je verrai donc mes filles les semaines 6-8 et 10 …..puis à nouveau la maman décide de ne plus me les remettre...violant encore une fois une décision de justice. 

Parralèlement Ma fille aînée indiquera  au JAF ne plus souhaiter voir son papa, invoquant des faits de violence en date du 9 mars 2014, pour lesquels j'apprendrai plus tard qu'une nouvelle plainte a été déposée par la maman.

A la suite de quoi, le JAF statue malgré tout sur un droit de visite en lieu neutre, à compter de juillet 2014 avec possibilité de sortir de 14 h à 18 h.

Lors de ma première visite au point rencontre ma fille n'était pas présente, nouvelle infraction,.....je ne la verrai donc que la fois suivante.

Bien que ma volonté soit de ne pas sortir sans présence d'un tiers afin de me protéger des accusations mensongères ; ce moment entouré d'éducateurs sera particulièrement difficile (ma fille me rapportant les menaces émanant du concubin habitué des coups à mon encontre, mais encore de la maman et aussi une foultitude d'insultes sur ma famille ce qui est intolérable.

 

Cette nouvelle plainte pour des accusations dont je suis à nouveau victime, donnera lieu à une confrontation en Gendarmerie en présence de ma fille le 4/08/2014. 

Je rencontre un gendarme qui m'entend là sur des faits de violences, tout en relevant l'aspect original d'une plainte déposée uniquement par la maman.

Ce dernier m'avait déjà rencontré le 12/06/2014 pour m'informer de cette plainte.

A cette occasion, il n'avait pas souhaité prendre diverses pièces que je souhaitais verser au dossier pour tenter de prouver,à nouveau mon innocence dans cette nouvelle affaire, n'ayant rien d'autre à opposer aux mensonges dont je suis victime depuis très longtemps.

A l'issue de cette confrontation, ma fille reste sur sa position.

Je suis donc à nouveau la cible du complot qu'exerce sa maman et sans aucun doute son compagnon à mon égard.

Aujourd'hui, on sait bien que les fausses accusations de violence ou d'attouchement sont l'arme suprême pour écarter un père de ses enfants.

 Ce jour, après avoir insisté, j'ai enfin pu remettre les éléments ( attestation, photos courrier JAF....) sur l'événement du 9 mars 2014 dont ma fille aînée m'accuse.

Ma fille dira ceci face aux gendarmes : « tu veux qu'on soit placés mais ma soeur elle ne t'a rien fait »

Ces propos me feront bondir en mon fort intérieur.

Que dois je comprendre ? Qu'elle elle m'a fait quelque chose ?

Puis elle se mettra subitement à pleurer, et le gendarme, au lieu de lui demander pourquoi ces larmes, me demande de réagir face à ses pleurs......

Que répondre ? Juste imaginer que  le mensonge devient peut difficile à porter ?

 

Le gendarme lui demandera Maëlle ce qu'elle souhaite.

elle répond « ne plus voir mon père ».....ce qu'elle avait déjà demandé à Mme le Juge sans pour autant être entendue.

Je m'applique depuis le début des diffamations dont je suis victime à ne jamais me retrouver seul avec ma fille aînée, ne sachant plus comment prouver que tout ce dont on m'accuse est faux. Il y avait de plus d'autres personnes présente, mais le Gendarme ne s'y intéresse pas.

 

Je fais mon possible pour continuer à voir mes enfants, rester en lien avec elles, en alertant différents services et faisant des citations directes dans l'espoir d'être entendu, disculpé et restauré dans mon intégrité de père.

Ma parole est désormais confrontée à la seule parole de ma fille largement aliénée par sa maman.

 

Je m'étonne aussi que ma fille m'embrasse avant l'audition mais reparte sans m'embrasser alors que je le lui fais remarquer et qu'aucun intervenant ne s'en offusque.

Alors que j'avais un droit de visite et d'hébergement classique depuis 2012 malgré toutes les plaintes fantaisistes de la maman s'inscrivant dans une volonté de rompre tout lien avec mes enfants, la mère a continuée à entretenir un climat malsain, je ne peux que constater que je n'ai pas été débouté de mes droits de père et que la maman conserve malgré tout la garde.

 

Il est bien évident que mon désir à toujours été de protéger mes filles de l'engrenage psychologique , également pouvoir me protéger des fausses accusations dont je suis victime qui sont psychologiquement de plus en plus difficiles à supporter et tolérer.

Mais je suis dans une situation d'échec, pas entendu et les enfants pas protégés.

 

Depuis 2011 la quantité  de procédures accusations enquêtes atteste d'un acharnement effroyable sur ma personne et mon entourage. Les illustrations dans ce courrier sont malheureusement non exhaustives.

 

 Peu de personnes dans les instances ont eu de considération pour ce que j'endure,mes filles également.

Trop souvent je me suis retrouvé effondré, discrédité dans mon rôle de père je réitère mes inquiétudes quant au milieu socio culturel dans lequel évoluent mes filles.

 je vais donc personnellement m'occuper de l'épilogue

 

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